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Eternel Diamant


 250 TONNES DE CAILLOUX  POUR UN SEUL DIAMANT.
 
            Après leur formation, ce sont des éruptions volcaniques qui ont fait remonter les diamants à la surface de la terre. Certains diamants sont restés dans les cheminées de ces volcans éteints, pris dans une lave solidifiée qu’on appelle roche bleue ou kimberlite.

 

Mais les diamants sont si rares et si dilués dans la masse qu’il faut traiter environ 250 tonnes de kimberlite pour produire un seul diamant d’un carat.
 
            D’autres diamants, sous l’effet de l’érosion, durant des millénaires, furent charriés par les courants dans les rivières, ou se déposèrent dans la mer. Quelques siècles plus tard, de grosses quantités de diamants furent envoyées par les courants et les tempêtes sur les rivages, où ils furent enterrés sous des tonnes de sable, à 12 ou 15 mètres de profondeur. Il faut remuer des montagnes de sable pour trouver parfois un seul diamant, le rapport entre le volume d’un diamant et celui du sable à remuer étant de 1 à 100 millions !

 
LES « 4C » du diamant : « carats » (le poids) « Color » (la couleur) « Clarity » (la pureté) « Cut » (la taille).
 
 

1er CRITÈRE : LE POIDS
 
            La masse du diamant est exprimée en “carat”. Ce nom provient de la “caroube”, fruit du caroubier, qui servait d’unité de mesure dans l’antiquité en raison de son poids constant (0,20 gr).

 

            Le carat métrique qui sert à peser les diamants équivaut donc à 1/5ème de gramme, c’est à dire qu’il faut 5 carats pour faire un gramme. Mais une si petite masse laisse néanmoins entendre, en langage diamantaire, qu’un diamant d’un carat est “une grosse pierre”. C’est dire la légèreté de ce minéral, pourtant si dense.
 
(Cette unité de mesure ne doit pas être confondue avec le “carat” de l’or, lequel exprime la quantité d’or fin contenue dans un alliage de métal).

 
2ème CRITÈRE : LA COULEUR
 

            Chaque diamant, quelle que soit sa grosseur, est unique. A grosseur égale, on ne peut jamais trouver deux diamants exactement semblables. Il y a toujours de subtiles différences de couleur ou de clarté : ainsi se manifeste la richesse inépuisable de Dame Nature, qui dote chaque pierre de sa personnalité, et cela à l’infini...
 
            La couleur est un des facteurs les plus importants pour déterminer la valeur d’un diamant et les choses ne sont pas simples car il existe plusieurs centaines de nuances identifiables de blanc. Plus un diamant est proche de l’absence totale de coloration, plus il a de valeur.
  
            L’échelle internationale de la couleur est graduée par des lettres, selon la classification ci-jointe.
 
            En pratique, un diamant n’a pas besoin d’être absolument blanc pour être beau, ni pour avoir de la valeur. Le monde de la joaillerie s’aventure assez peu jusqu’aux extrémités du “plus blanc que blanc”, dans la mesure où l’apparence parle d’elle-même.
 
           Rappelons enfin qu’il existe une grande variété de diamants de couleur, “de toutes les couleurs de l’arc en ciel”, dont certains historiques, et de valeur inestimable.
 
3ème CRITÈRE : LA PURETÉ
 
            Si la coloration des diamants se juge à l'œil, sa pureté, elle, se juge à la loupe de grossissement 10 fois. Il faut non seulement une loupe dite « aplanétique » (c'est-à-dire qui ne déforme pas la planéité par le grossissement optique) mais un « œil exercé ». C’est dire si ce critère est difficile à déterminer pour les non-initiés…
 
            Chaque diamant, tout comme une empreinte digitale ou un cristal de neige, a des caractéristiques propres, qui le rendent unique. Même les diamants réputés “purs” révèlent le plus souvent de légères imperfections naturelles lorsqu’on les examine sous tous les angles avec des grossissements supérieurs à 10 fois. Si ces imperfections qu’on appelle “inclusions” n’affectent pas le passage de la lumière, elles n’ont pas d’incidence sur la beauté du diamant. Elles n’en ont que sur son prix, puisqu’il est fonction de la rareté.
 
            L’échelle internationale de la Pureté fait appel à des abréviations d’inclusions selon la classification ci-jointe.
 
 

4ème CRITÈRE : LA TAILLE
 
            Les diamants tiennent de la nature leur couleur et leur pureté. La taille, elle, est le fruit de l’habileté de l’homme. C’est un art qui s’est toujours transmis de générations en génération, un art difficile, qui demande beaucoup d’adresse et une extrême patience. Et toute erreur est fatale.
 
            Le tailleur de diamants doit souvent décider de laisser quelques inclusions naturelles pour ne pas trop diminuer le volume du diamant. 
 
            En fin de compte, c’est l’habileté du lapidaire qui détermine la valeur d’une pierre, quel que soit son volume. Mais lorsqu’il s’agit d’une grosse pierre, les décisions qu’il prend ont encore plus d’importance. Une erreur est alors plus lourde de conséquence. Quel est le sens de cristallisation ? Où sont placées les inclusions de la pierre ? Quelle est la taille qui permettra de garder le maximum de poids et le minimum d’inclusions ? Ces questions sont décisives tant la rareté des grosses pierres leur donne de la valeur.
 
            Aujourd’hui, la taille dite « brillant » est la plus courante pour les diamants ronds. Elle est parfaitement normalisée, avec ses 58 facettes obligatoires : 33 facettes pour la partie supérieure du diamant  (« Table » 1 + « Couronne »  32) et 24 facettes  pour la partie inférieure, appelée « pavillon » ou « culasse ». Ajoutons la « colette », facette ultime de la pointe du diamant, pour arriver aux 58 facettes. Avant la généralisation de la taille « brillant », les diamants pouvaient avoir un nombre de facettes libre : on parle alors de « taille ancienne » ou, plus ancienne encore, de « taille rose ».
 
            Enfin, rappelons qu’il existe d’autres “tailles” au diamant que le “rond brillant”. Hélas pour les “poires”, les “marquises”, les “ovales” ou autres “princesses”, leur forme ne fera que multiplier encore la valeur de ces pierres.
 
 

SE PROCURER DES DIAMANTS CHEZ DUCROS
 
            Si vous aimez les bijoux, si vous cherchez le plaisir pur et durable, achetez des diamants, n’hésitez pas ! Posséder un diamant, c’est avoir un lien avec le passé et avec le futur. Plus encore que pour leur valeur, les diamants sont appréciés pour leur perfection et leur beauté qui défie le temps. Leur caractère impérissable les distingue de toutes les autres pierres et en fait le symbole le plus précieux de l’amour.
           
            Les mœurs évoluent. Bien des fiançailles et des mariages ont perdu leur caractère solennel. Mais au marché du cœur, le diamant, lui, a gardé sa valeur symbolique. En « solitaire », en « entourage », en « fleurs », en « alliance », il orne toujours les doigts de la bien aimée. La publicité ne ment pas quand elle affirme : « offrez un diamant à votre femme ! Si vous ne savez pas pourquoi, elle, le sait » !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

            Mais en raison de l’occultisme qui sévit dans ce domaine, et de la complexité des critères de leurs qualités, les diamants font aussi l’objet de nombreuses contrefaçons. Au-delà de 30/100 de carat, il semble impératif de se procurer des diamants "certifiés", qui attestent les caractéristiques des diamants ainsi que la conformité aux Accords de Kimberley, attestant que les diamants ne proviennent pas de pays en conflits armés ou extraits dans des mines exploitant des enfants.

 

Trois grands laboratoires mondiaux font aujourd’hui autorité en la matière :

 

Le HRD, (Hodge Raad voor Diamond),

Le GIA (Gemological Institute of America) et

L' IGI (International Gemological Institute).

 

Mais attention : même ces certificats font l’objet de contrefaçons !

 

Il faut donc être très prudents sur les certificats eux-mêmes. Les laboratoires font des efforts considérables pour authentifier leurs certificats et les munir de filigranes et papiers gaufrés spécifiques afin d'empêcher la contrefaçon.



Acheter des diamants : rien n'est plus facile !
 
            En notre époque, les ateliers de bijouterie qui stockent les diamants dans leur officine deviennent rare.
 
            La plupart des marchands de diamants sont aujourd’hui connectés au stock de la Bourse d’Anvers. La plus grande place au monde de négociation des diamants a mis en place un système d’accès crypté auquel nous sommes affiliés en tant que professionnels : demandez et vous recevrez !
 
             Nous pouvons consulter les caractéristiques et les prix de quelques 15 000 pièces en stock permanent, dans ce qui s’avère être « le plus grand coffre » du monde. Toutes les plus belles pierres mondiales viennent de là : autant aller puiser à la source, en direct, sans avoir à supporter la gestion d’un stock. Les pierres voyagent par des moyens ultra sécurisés, en 3 ou 4 jours maximum. Bien sûr, suivant l’importance des budgets, nous nous déplaçons.
 
             Ce qui fera la différence, c’est le coefficient multiplicateur des marchands, comme toujours.

 

 


 

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En "pétale",

en "entourage",

en "solitaire",

il n'est pas de bague qui soit vraiment

de belle Joaillerie sans diamants. "L'adamas" -l'invincible - possède une force considérable.

(Bagues artisanales et photos réalisées

par la Maison Ducros).

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